PRÉSENTATION DU VILLAGE DE ZOULA
Ce travail a été réalisé par Adrien Gansonré un des jeunes intervenants à la bibliothèque.
Il est maintenant professeur à Zoula. Il a effectué ce travail dans le cadre de sa maîtrise économie.
Si l’historicité de nos sociétés est désormais reconnue, il faut tout de même admettre qu’elle demeure encore dans l’ombre dans certains endroits. Or, il est très important de connaître notre histoire et surtout la faire connaître. C’est dans ce sens que nous avons décidé de dissiper les ténèbres où gisent encore nos racines et ce, à travers l’histoire de Zula. Zula est un village Gurunsi qui se situe dans la province du Sanguié.
À partir de la ville de Koudougou, Zula est vite atteint, car en empruntant la route nationale n°14 allant à Dédougou, au village de Goundi (8 Km), une piste carrossable, à droite, vous y conduit au bout de quelques trois Km.
Le village est limité au Nord par Réo(Djo), à l’Est par Koudougou( Nàdo), au Sud par Goundi et Nord-Ouest par Kelsio et Poûn.
La composition ethnique de Zula.
La population de Zula est le fait de plusieurs migrations. Ce sont les migrants d’ethnies Moaga, San et Peul.
Ces peuples se sont mêlés et ont vécu en symbiose depuis des siècles, pour se confondre dans une seule ethnie : Lyéla. La langue Lyélé parlée par tous dans le village est un élément témoin de ce brassage.
Il faut souligner qu’on y rencontre également d’autres langues parlées telles le mooré et le fulsé ou peul.
On rencontre les moose dans le quartier Nédialpoùn qui est quartier voisin du quartier Burkina de Koudougou.
Quant aux fulsé, il n’y a qu’une famille installée à Boudjre. À Zula on rencontre aussi des bergers qui viennent et repartent aussitôt après avoir fait paître leurs troupeaux. Toutes ces familles font partie intégrante de la communauté villageoise et comprennent le Lyélé. La population de Zula dont les Lyélé sont les membres fondateurs, est composée de plusieurs groupes claniques qu’il convient de présenter.
Les clans fondateurs de Zula
- Les Bama :
On les désigne sous l’appellation de Màli. Selon la légende de la création du village, les Màli sont issus d’ancêtres Mosse qui, à leur arrivée, utilisaient la paille pour construire leurs abris. C’est ainsi qu’ils ont été appelés Màli c’est-à-dire “les gens de la paille“. Ce terme Bama est venu pour désigner le groupe fondateur du village. - Les N’DO :
Les N’DO sont de souche Moaga. Ils sont à l’origine du quartier Moka qu’ils occupent actuellement.
Les N’DO forment un groupe composé de plusieurs familles reparties dans les quartiers Moka et Nedjalpoun. - Les Baziemo et les Bakala :
Les Baziemo occupent l’espace actuel du quartier Boudjre dont ils sont les fondateurs. Les Bakala partagent avec les Baziemo le même quartier. Les Bakala sont considérés comme des Fulsé ou Peuls.
Certains Bakala sont installés dans le quartier Pyokura.
NB : Outre les familles fondatrices Zula est aussi habité par d’autres familles venues des villages voisins.
Ce sont les Badolo et les Bayili venus de Kyon, des Bamouni venus de Poun et des Bazié arrivés de Goundi. Toutes ces familles se répartissent dans tous les quartiers du village. La population de Zula est estimée actuellement à 9 000 habitants.
Le processus de la fondation de Zula : les origines des ancêtres, la légende de la fuite et la signification du terme Zula.
Les origines des ancêtres : Les anciens interrogés sur la fondation du village attestent que ce sont deux frères qui ont été à ses origines. L’aîné s’appelait Gru et le cadet Grubié ou Grubila.
Qui sont-ils ? D’où viennent-ils ? Ces interrogations nous conduisent à situer les origines des ancêtres fondateurs.
Au sujet des origines la tradition nous enseigne que les ancêtres Gru et Grubila vivaient à « LA », un village situé dans le Moogho. « LA » se situe dans l’ancien royaume de Yako qui est limitrophe des pays Gurunsi et Samo.
« LA » dans l’actuelle région de Yako est connu sous le nom de LA-Todé Ils vivaient sous l’autorité des Moose. Les prénoms Gru et Grubila attestent d’une origine moaga des ancêtres. Dans la langue Lyélé ces prénoms sont devenus Gru et Grubié, le diminutif de “Bié“ désignant toujours le cadet d’une famille.
Or pour les sources écrites les ancêtres viennent de Laï qui est un village sous le contrôle de Ouagadougou.
Des populations y sont parties également pour le pays Gurunsi. C’est ainsi que Sékakomba Yaméogo parle de Mo-Gurunsi pour traduire les Moose assimilés du fait de leur intégration dans ce groupe. Pour lui, les Moose fuyant l’insécurité ou suite aux querelles de chefferie se réfugièrent dans la région située à l’ouest de Ouagadougou.
Au fil du temps ils furent convertis en Gurunsi. De Laï Pageard rapporte que : « Les Nyônyôssé Zongo de Laï ont conservé une tradition anté-oubrienne. Ils désignaient leur ancêtre par le nom de Naba Goulma. Naba Goulma aurait eu deux fils. À sa mort, le premier fils prit Laï pour résidence et commanda depuis Pabré jusqu’aux environs de Nandiala canton de Lallé, cercle de Koudougou. Le second s’installa à Nandiala et commanda les Nyônyôssé jusqu’à la frontière avec les Lyéla(cercle de Tenado) ». Cette dernière assertion confirme ce que Sékakomba dit à propos de l’assimilation de certains Moose aux Gurunsi-Lyéla.
Qu’il s’agisse de Laî ou de « LA », il y a eu une immigration de populations vers le pays Gurunsi. Cependant, sur la base des données orales recueillies sur le terrain, nous privilégions « LA » comme la résidence première des ancêtres fondateurs de Zula. En résumé, les ancêtres fondateurs de Zula sont d’origine Moaga et seraient venus de « LA ». Mais pourquoi ont-ils quitté cette ancienne résidence ? Nous trouverons une réponse à cette interrogation au cœur de la légende de la fuite.
La légende de la fuite : En effet pour expliquer les causes qui ont entraîné la migration des ancêtres, les anciens nous ont raconté la légende suivante : « Nos ancêtres qui vivaient dans le Moogho, ont été surpris un jour dans le champ de “Pya“ ou “Piéssé“ du roi. Ils étaient en train de les voler pour aller manger car ils avaient faim.
C’est ainsi que les gardes du roi leur demandèrent l’objet de leur visite dans son champ. Ils prétextèrent être à la recherche de quelque chose. Les gardes leur intimèrent l’ordre de poursuivre leur recherche sous leur vigilance.
Les deux indélicats feignirent de rechercher effectivement quelque chose et ils virent pour leur grand bonheur sortir de terre un grillon. Ils s’empressèrent de l’attraper pour le présenter aux gardes comme étant l’objet de leur fouille.
Ils durent leur salut à cet insecte. Mais craignant que le roi ne découvre plus tard leurs vrais mobiles et pour leur sécurité, ils prirent la clef des champs ». Et la légende conclut que c’est depuis ce temps que le clan Bama fondateur de Zula a pour totem le grillon.
La signification du terme Zula : Le terme Zula est assez évocateur dans l’esprit de tous ceux qui parlent le Lyélé car il renvoie à l’idée de quelqu’un qui effectue un voyage et qui s’arrête pour se reposer ou qui est arrivé à destination. En effet, Zula vient de “Zul“ qui signifie se décharger en Lyélé. Les ancêtres fatigués de leur longue marche, se sont arrêtés à un endroit quelconque pour se reposer. Après avoir repris leur force le cadet qui voulait continuer le chemin a demandé à son aîné s’ils devaient poursuivre la route. C’est ainsi que, depuis lors on appelle cette localité Zul. Les Moose appellent Zula “Sigui“ qui veut dire aussi décharger. Le terme Zula et sa signification expliquent l’extension rapide du village. Tous ceux qui y arrivent, s’arrêtent et ne repartent plus. La naissance du village est le fait de deux frères aidés d’un individu trouvé sur les lieux. La coexistence pacifique entre eux va créer un cadre d’une hospitalité légendaire. La constitution historique du village nous en dira davantage.
La constitution historique du village. La dynamique du village est le résultat d’une hospitalité que nous découvrons à travers l’histoire résumée de chaque quartier.
- Le quartier Mà : Ce quartier constitue la genèse du village. C’est le quartier mère. Il représente le site originel du village et est situé à proximité d’un marigot intarissable. Conformément à ce qui a été dit au sujet de la création du village, ce sont Gru et Grubié qui en sont les fondateurs.
- Le quartier Moka : La formation de ce quartier est l’œuvre de trois familles. Les premiers fondateurs furent les Moali. Après eux, sont arrivés les Niniossé à la suite desquels est arrivé le troisième Moaga, celui-là solitaire. Il est appelé Moanakara, qui un Moaga quelconque.
- Le quartier Budjre : Il tire son nom d’un fait et se compose des Zièmoli et des Kaali. Les Zièmoli viennent en quatrième position dans la constitution du village. L’identité des Kaali reste encore confuse. En effet, les Kaali sont les “Fual-biissi“(les fulsé de peau noire) terme en Lyélé désignant les fulsé ou peuls qui ont des souches Moose. Ils sont de ce fait des “Silmimoose“. Leur ancêtre, dont le nom reste inconnu, serait venu de Nastenga, probablement une déformation du Yatenga. D’autres encore pensent qu’il serait originaire de Namentenga. Si le lieu d’origine de Kaali pose encore un problème, la tradition quant à elle reste formelle sur leur origine peul.
- Le quartier Nédjalpoùn : Le premier occupant de ce quartier s’appellerait Beyaltra. Le nom du lignage fondateur est N’do et M’po. Dans la formation de Zula, Nédjalpoùn constitue la quatrième portion. Son nom est un symbole. Le site actuel de Nédjalpoùn était à l’arrivée des fondateurs une forêt impénétrable et les nuits étaient troublées par des animaux sauvages. De braves jeunes ont pu dompter ce milieu austère et on lui a donné le nom Nédjalpoùn qui signifie le lieu des braves. En effet, Nédjal veut dire brave et Poùn forêt.
- Les quartiers Pyokura et Jishen : Ces quartiers sont des émanations du quartier-mère Mà. La pression démographique et la recherche d’espaces arables ont poussé les descendants des fondateurs de Mà à créer ces zones. Pyokura signifie aux pieds de la montagne(les ancêtres fondateurs se sont installés aux pieds des collines pour cultiver). Le fondateur de Pyokura s’appellerait Ogassué Bama. Jishen signifie les maisons rouges (à cause de la terre rouge de cette zone. Cette terre rouge sert de matériau de construction). Le premier venu à Jishen et qui fut le premier chef s’appellerait Piatu.
La mise en place du village de Zula s’est produite par vagues successives de gens venus d’horizons divers. C’est un village constitué de plusieurs quartiers et chaque quartier représente une famille. Cependant Zula représente aujourd’hui est un ensemble homogène. Le Lyélé, langue parlée par tous, lui confère une unité linguistique.
PRÉSENTATION DE LA COMMUNE RURALE DE DIDYR
Ce travail a été réalisé par Émilie Kando, une étudiante qui a effectué un stage à la bibliothèque du collège de Zoula, qui est native de Dydir et qui est actuellement en maîtrise de lettres à Koudougou.
Historique
Didyr vient du mot gourounsi « Djiou » qui veut dire terrearide et « dyr » qui veut dire maison. Autrement dit, Didyr signifie maison de la terre aride.
Didyr fut créé par deux hommes venant de Kordié, un village limitrophe. Didyr était un lieu de promenade pour ces deux hommes qui se croisèrent au bord du marigot. Or chacun avait laissé un signe. Le premier homme avait jeté un morceau de terre dans le marigot, le deuxième un morceau de bois.
Quel élément était arrivé en premier dans l’eau du marigot ? la terre ou le bois ? Après une longue dispute,l’un d’entre eux céda et donna la première place à celui qui avait jeté le morceau de terre . Celui-ci devint le chef de terre et celui qui avait jeté le morceau de bois devient son aide.
La situation géographique
La commune rurale de Didyr est située dans la province du Sanguié principalement au nord à 35 km de Réo et 50 km de Koudougou sur la route Koudougou-Toma. Elle est limitée à l’Est par Kordié et Samba ; à l’Ouest par Gossina et Yoba ; au Nord par Gdyr et au Sud par les communes de Dassa et Réo.
La superficie de la commune rurale de Didyr est 645 km2. Elle compte 16 villages :
Barla, Bouldie, Didyr Centre, Doudoulcy, Goko, Goumi, Imouga, Kya, Ladiana, Ladiou, Mogueya, Mousseo, Mouzoumou, Pouni-Nord, Yamadio, Youoloupo.
La commune est constituée d’une vaste plaine avec quelques collines d’une altitude de 300 à 400 mètres.
La population
La commune rurale de Didyr est composée de plusieurs groupes ethniquesessentiellement des Gourounsi. Les autres groupes ethniques : Mossi, Peuls, Samo …
On compte plus de 4 653 ménages.
Le nombre d’habitants est de 40 955 dont 18 844 hommes et 2 211 femmes.
C’est la troisième plus grande commune du Sanguié après Ténado et Réo.
Activités économiques
La population pratique comme activité économique principale, l’agriculture. Nous avons en particulier la culture du riz, du mil, du sorgho… Elle pratique également l’élevage des ovins, bovins, caprins, ainsi que le commerce et la pêche. Mais l’agriculture est caractérisée par l’utilisation des moyens archaïques comme la daba, la pioche, la charrue, … C’est ce qui explique les faibles rendements.
Activités culturelles
La population de la commune rurale de Didyr pratique comme activités culturelles, la danse, le tir à l’arc, la lutte.
Elle participe au festival olympique du monde rural qui a lieu tous les deux ans qui est considéré comme la plus grande activité culturelle de Didyr.
Pour illustrer cette page de présentation
le chapitre consacré à DIDYR par Laurent Bressy
sur son blog constitue toujours coup d’œil intéressant…
MICRO IRRIGATION À DIDYR
Une visite à Didyr, le 2 décembre 2013 nous a permis de constater
la réalisation du projet de micro irrigation.
Le terrain a été préparé par nos amis burkinabé, le kit de micro irrigation, la moto pompe et les diverses fournitures ont été achetés sur place à Koudougou, un local pour assurer la protection du matériel a été construit…
Le système d’irrigation a été mis en place par les responsables du projet (parents et membres du comité de gestion de l’école).
Au niveau pédagogique, un enseignant est responsable du jardin et organise le travail avec les enfants.
Des pieds de tomates, d’ aubergines et d’oseille ont été plantés…
Les productions devraient permettre d’améliorer l’autonomie de la cantine.
INITIATION AU RUGBY À ZOULA
Au cours d’un séjour dédié au suivi des actions menées par l’association, Michel participe activement à une séance d’initiation au rugby… À la camera vidéo Sébastien Tardat …
INAUGURATION DE LA BIBLIOTHÈQUE
Après de longs efforts, l’inauguration de la bibliothèque marque un point décisif de l’action…
- Un bâtiment,
- des équipements, rayonnages, tables, chaises,
- un système informatique de gestion de bibliothèque,
- des personnes formées à la gestion d’une bibliothèque moderne,
- un fond de 1730 livres et documentaires, qui doit profiter à :
- 24 classes,
- pour 1 400 enfants !
Cet inventaire à la Prévert, auquel ne manquent que les ratons-laveurs, dit à peine ce qu’est ce projet.
Il faudrait dire ici ce que sont les heures passées à la préparation, entre les missions sur place.
S’approprier les méthodes, pour les restituer aux équipes qui assureront le fonctionnement, s’assurer que tous les paramètres des programmes informatiques sont correctement appliqués, lutter contre les incompatibilités de versions des systèmes d’exploitation (!)
Faire fonctionner le tout en réseau !
Après toutes ces incertitudes, la concrétisation est un grand soulagement.
PARFUM D’AFRIQUE
Parfum d’Afrique à l’EHPAD Résidence André Compain à St Michel.
Le partenariat entre la Maison de Retraite de St Michel et l’association Kambavenir s’ancre dans la durée……
Celui-ci, à l’initiative de Gladys, l’animatrice et de Virginie, la psychologue avait commencé en 2012 avec une présentation des activités de l’association…
Le lundi 16 septembre, Kambavenir a répondu à l’invitation de Gladys et Virginie pour à nouveau partager un moment !
Une présentation en 3 étapes : le Burkina Faso, les actions, la fabrication du beurre de Karité et les actions lors des derniers séjours.
Les pensionnaires de la maison de retraite ne sont pas en retrait de la société. Au contraire, ceux-ci ont apporté de nombreux témoignages et ont posé de nombreuses questions.
Monsieur Le Marelec a posé une question essentielle :
Pourquoi le Burkina Faso est il un pays économiquement pauvre ?
Il a même émis 4 hypothèses :
- la situation enclavée,
- le pouvoir politique qui ne favorise pas toujours le développement économique et social,
- les coutumes de nombreux habitants,
- le colonialisme.
Nous partageons son interprétation et à chacun d’apprécier le poids de chacun des facteurs.
Madame Roy connaît la Côte d’Ivoire et a apporté son témoignage sur la vie en Côte d’ivoire en comparaison avec le Burkina
Bien plus, Madame Arlette a 2 passions : la promenade et la confection de carrés qui font le bonheur d’un orphelinat du Burkina.
Arlette voudrait augmenter sa production, Kambavenir est bien sûr très favorable mais ne voudrait pas que cela se fasse au détriment de ses promenades…
Et l’après-midi, après un goûter partagé, s’est terminée par une exposition d’artisanat burkinabé…
Newton disait : « Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts ».
Cette coopération entre la maison de retraite et KV illustre cette affirmation :
- Un pont entre les générations,
- Un pont entre St Michel et Koudougou.
FIBD 2013
La participation de Kambavenir au FIBD janvier 2013.
Angoulême capitale mondiale de la BD …
Plus de 200 000 visiteurs , des auteurs, éditeurs, dédicaces, conférences …
Dans l’espace nouveau monde, place New York, Kambavenir était présente avec une activité bar et sandwichs …
Ainsi, l’association a pu obtenir des bénéfices en échange d’un service fourni aux auteurs, exposants et public du festival.
Bien plus, cette présence a permis une communication sur les travaux BD réalisés par les jeunes de Zoula ainsi que sur les actions de Kambavenir.
Enfin, les contacts avec les dessinateurs et public se sont avérés très conviviaux et intéressants.
Vive la BD et un grand merci de l’association Kambavenir à :
– Monsieur Jean Luc Bittard , directeur technique du FIBD,
– Gérard Balinziala, Président du FIBD,
– les dessinateurs, en particulier Nicolas, Fabien, Galou, Patrick Cohen,
– et bien sûr Gérard Discour et Alain Porte qui ont associé Kambavenir
et valorisé le travail des jeunes de Zoula.
Expo BD, Soirée conte Africa et FIBD
Exposition BD à la MJC de Mouthiers.
La BD : de Zoula … Au FIBD Angoulême … En passant par Mouthiers-sur-Boëme !
À Mouthiers-sur-Boëme, Aya de Yopougon s’expose !
Aya c’est la jeune et belle Ivoirienne qui vit à Yopougon, un quartier d’Abidjan …. Et il s’en passe des choses à Yopougon … Objets de plusieurs BD … et à la MJC de Mouthiers, les planches, le décor, l’ambiance…
C’est l’expo préparée par Alain et Gérard … Ils ont associé Kambavenir.
Aya en Africa… | et les Kamba de Zoula… |
Après le vernissage de l’expo – 19 janvier 2013 – une soirée Africaine, le mardi 29 janvier avec des contes Africains suivis d’une discussion sur les objectifs et actions BD au collège de Zoula de l’association Kambavenir
« La profession de griot se transmet de père en fils … C’est à la fois un animateur, un chanteur
et un conteur. Il enjolive toujours de mille détails inventés au fur et à mesure son récit »
S. Janin – Burkina
FOULÉES D’ANGOULÊME
Participation de Kambavenir aux foulées d’Angoulême 2013
Pour la 4e fois consécutive, le club d’athlétisme G2A – Grand Angoulême Athlétisme– a choisi Kambavenir comme association partenaire.
12 membres ou sympathisants ont participé à l’encadrement des foulées d’Angoulême : inscription ou signaleur. En contrepartie G2A favorise les actions de Kambavenir.
Il s’agit d’une manifestation importante ( prés de 2000 coureurs) caractérisée par un esprit sportif et convivial.
L’équipe côté pile… | La même, côté face ! |
Kambavenir adresse un grand remerciement aux organisateurs de G2A.